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28 septembre 2018

Dernier jour en Afrique du Sud et retour en france

2018-09-28T19:09:08+02:00

Après un gros lavage intérieur de la voiture en raison de toute la poussiere rouge accumulée depuis le parc Kruger, nous disons au-revoir à ces paysages et prenons la route pour l’aéroport que nous rejoindrons dans 4 heures.

Sur la route nous nous arrêtons au wimpy, fast food régulièrement rencontrée dans le pays, mais rien d’exceptionnel.

Nous traversons également un gros orage avec la foudre frappant la terre non loin de notre passage et des nuages de poussiere créés par le vent rendant par moment là visibilité très réduite, on se croirait dans le Sahara, en exagérant un peu.

Le terre plein séparant les deux sens de circulation est en feux, réduisant une nouvelle fois la visibilité.

Avant de déposer la voiture nous passons par le car wash qui nous la restituera comme neuve. En Afrique du Sud, nous faisons rien nous même, mettre de l’essence, laver la voiture.

Pour conclure, nous assurons à qui serait intéressé par visiter ce pays, que celui ci est vraiment magnifique que ce soit pour la faune ou la flore.

Nous avons éviter toutes les grosses villes en raison des problèmes de sécurités comme on nous l’avait recommandée et nous ne pourrons donc vous en dire d’avantage sur ce sujet. Nous n’avons, pour notre part, rencontré pas le moindre problème même mineur.

En revanche, les inégalités énormes qui frappent ce pays, notamment en raison du poids de son histoire est évidente et palpable constamment.

Bien que je ne l’ai pas fini, je recommande visiblement le livre autobiographique sur Nelson Mandela, très intéressant.

Reste plus qu’à décoller sous l’orage !

Dernier jour en Afrique du Sud et retour en france2018-09-28T19:09:08+02:00

Monts aux sources

2018-09-28T18:49:18+02:00

Dernière étape de notre voyage, nous remontant inéluctablement vers johan’ pour notre retour en France, et nous nous installons dans un très charmant cottage décoré à l’anglaise avec encore une fois un superbe vue sur les montagnes et la petite vallée où ruisselle une petite riviere.

Nous faisons une petite rando de deux heures pour aller voir la rivière falls, du moins ce qu’il en reste en raison de la sécheresse, suffisamment toutefois pour que Bertrand puis prendre une petite douche fraîche sur les rochers, rafraîchissement bienvenue eu égard à la chaleur de la journée.

Je tiens à vous présenter une des plus belles fleurs que nous avons vu, en forme d’oursin et rouge pétant.

Nous nous approchons ensuite de l’amphithéâtre, barrière de roche abruptes en demi cercle d’où son nom. Sur le passage nous regardons de gros babouin se battre et les bébés s’accrocher sous le ventre de leur mère.

Le paysage est une fois de plus magnifique faisant dire à Bertrand qu’il reviendrait bien en Afrique du Sud pour découvrir plus longuement le Drakensberg.

Au retour au camps, j’essaie la piscine mais comme je m’y attendais, la fraîcheur ne me permettra d’y rester quelques toutes petites minutes.

Bertrand excelle une dernière fois au barbecue où nous mangeons ces fameuses brochettes caramélisées.

Nous allons prendre un dernier verre dans le bar du camps, un bon verre de rouge sud-africain évidemment et plus exatement un pinotage, cépage créé dans notre pays hotte.

Monts aux sources2018-09-28T18:49:18+02:00

Giants Castle reserve

2018-09-28T18:47:56+02:00

Nous passons deux jours dans cette réserve au pied des montagnes du Drakensberg, frontière géographique avec le Lesotho. Nous avons fortement hésité à nous y rendre en raison de la durée du trajet et du mauvais état des routes plein de nid de poule mais également de notre impossibilité à réserver un logement dans le seul camp du parc. Bien nous à pris de prendre le risque !

Nous logeons pendant deux nuits dans un super petit chalet sur le flanc de la montagne nous offrant une vue magnifique sur le panorama sans même devoir se lever du lit grâce au grande baies vitrées du lodge.

Lors de nos balades à pied, nous rencontrons de très gros babouin, de la taille de gros chien, assez impressionnant.

Au cours de ces deux jours, nous avons fait deux randonnées, l’une de 15 km avec un petit 500 mètre de dénivelé sur les collines jaunies et arrondies, l’autre de 18 km avec un dénivelé de 750 mètre pour arriver à 2383 mètres nous permettant d’être au plus proche des falaises du Lesotho. Cette deuxième rando, sous un grand soleil nous auras valu de bon coup de soleil sur les bras, jambes et nuques, aïe aïe aïe !

Nous admirons de douces collines arrondies donnant l’impression d’être couvertes d’un doux duvet soupoudré délicatement de vert, de jaune et de marron tranchant littéralement avec des falaises abruptes aiguisées aux teintes grises et marrons devenant ocre voire carrément rouge sous les rayons du soleil qui les surplombent.

Nous nous amusons encore et toujours des chants des oiseaux pour le moins originaux, ici une alarme de voiture, là un réveil matinal ou encore un court circuit électronique !

D’êtranges bébêtes viennent nous rendre visite à notre chalet, une espèce de grosse marmotte avec un museau plus allongée, nous espérons d’ici la fin de notre voyage pouvoir l’identifier clairement.

Lors de nos randos, nous sommes tombés sur de magnifique sauterelles, l’un noire tachetée de jaune, rouge et vert, l’autre aux couleurs de Spiderman, peut êtres un nouveau marvel grasshopperman.

Nous avons particulièrement appréciés ces deux jours dans cette réserve notamment à marcher sur une magnifique crête et contempler un paysage majestueux que nous avons rarement rencontré. C’est de toute beauté !

Giants Castle reserve2018-09-28T18:47:56+02:00

Randonnée du sani pass

2018-09-27T15:56:56+02:00

Nous commençons notre rando par une heure de voiture sur une piste bien cabossée à la limite du praticable à certain moment pour notre voiture. Nous arrivons ensuite au sani pass poste border, c’est à dire la frontière de l’Afrique du Sud avec le petit état du Lesotho. La consigne est claire, seuls les 4×4 peuvent empreinter la route, pourtant seul passage possible entre les deux états pour le côté est du Lesotho.

Nous partons donc pour une randonnée dans un no man’s Land, les 8 km séparant chaques frontières n’appartenant à aucun des deux pays. Après 2h30 de marche dans les nuages, 8km donc et presque 1000 mètres de dénivelé positif nous arrivons à la frontière du Lesotho perché à plus de 2800 mètres d’altitude.

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Sur le chemin, nous nous faisons doubler par une multitude de 4×4 (l’etat de la route justifiant effectivement la consigne) qui transporte autant de touristes… Vraisemblablement nous sommes les seuls à faire cette ascension si ce n’est deux hommes que nous avons croisés en mode ultratrail, au point de se faire encourage régulièrement par les touristes qui nous doubles.

La montée se fait heureusement au frais, dans le brouillard, mais avec une visibilité très réduite.

Une fois sur le plateau, les nuages disparaissent et nous admirons une mer de nuages en contre bas. Le plateau est constitué d’une herbe courte et jaunie où plusieurs petits rondavels constituent un petit village. Les sommets en arrière plan renforce l’impression d’un sentiment de bout du monde.

Avant de redescendre, les nuages disparaissent et nous laissent découvrir de magnifiques montagnes aux bases arrondies mais aux sommets déchiquetés. Les bloques de roche rougies par endroit n’est pas sans rappeler les paysages de grand canyon.

Nous faisons la descendre avec une très belle visibilité nous permettent d’admirer le panorama où les petits nuages semblent danser avec la géographie des lieux.

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6 km de randonnées plus tard et des pieds qui commencent à sérieusement fatiguer, nous reprenons la route pour nous avancer sur notre prochain étape du lendemain. La nuit tombant, nous faisons une halte dans la ville de howick où nous trouvons difficilement un logement. Il faut dire que dès 18h, il ne se passe plus grand chose en Afrique du Sud et nous tombons sur un gentil propriétaire d’une ferme qui accepte de nous préparer à la hâte une chambre pour y passer la nuit.

Randonnée du sani pass2018-09-27T15:56:56+02:00

De Saint Lucia au Drakensberg

2018-09-25T06:11:09+02:00

Nous partons pour un trajet de plus de 5 heures de voiture pour rejoindre les montagnes d’Afrique du Sud au Nord de Durban.

Sur le chemin, nous nous arrêtons, par hasard, à Zinkwazi beach pour profiter une dernière fois de l’océan indien. Nous entrons alors dans un ville dont l’entrée est surveillé par un gardien et auquel il faut montrer patte blanche selon des critères que nous ignorons puisqu’il nous laissera rentrer sans vraiment rien nous demander. La ville est constituée de villa pour la plus part luxueuse et protégée par des clôtures électriques. Nous sommes frappés par le fait que la belle et longue plage n’est fréquenté que par des blancs.

Le cadre est magnifique est nous nous amusons à défier les très grandes vagues se brisant sur la plage.

Cette escapade terminée nous reprenons la route en passant à côté de la très grande ville de Durban où les quartiers plus ou moins huppés sont bien séparés des très grands quartier bidon ville.

Nous arrivons à notre backpaker en fin de journée afin d’être au plus près de notre randonnée du lendemain.

De Saint Lucia au Drakensberg2018-09-25T06:11:09+02:00

Sur les eaux à saint Lucia

2018-09-22T21:45:56+02:00

Il paraît que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, cela doit être également le cas pour les voyageurs souhaitant voir plein de belles choses. Nous quittons notre chambre dès l’aube pour rejoindre directement la plage où nous attend un bateau. Une fois installé et aggripé, deux tracteurs, à l’aide d’une grosse barre métallique, poussent énergiquement le bateau échoué sur la plage afin que nous puissions gagner les eaux. Les grosses vagues matinales nous réservent ensuite un accueil dynamique sous le regard des dauphins.

Quelques petites minutes à peine que nous naviguons sur l’océan indien que de grosses baleines sortent, ça et là de chaque côté du bateau, des nageoires, des évents avec le panache de vapeur à chaque respiration, de leurs queues si singulières.

Nous prenons un peu plus le large et tombant sur des baleines sautant hors de l’eau et retombant lourdement sur la surface de la mer, le spectacle est grandiose.

Le bateau s’approche très près des baleines pour mieux mesurer encore la taille de ces mammifères.

Le retour consiste à foncer droit sur le rivage, sans freiner afin de s’échouer un nouvelle fois sur la plage !

En fin de matinée, nous reprenons un autre bateau mais cette fois si direction l’estuaire du lac de sainte Lucia. Nous découvrons alors de très gros crocodiles n’invitant aucunement de mettre ne serait-ce qu’un seul orteil dans l’eau.

De beaux oiseaux jaunes entrent dans leurs nids sphériques suspendu au dessus de l’eau sur la pointe des roseaux.

Nous approchons également plusieurs d’hipportant tr’hippeaux d’hippopotamus hippostouflant protégeant leurs bébés. Le grognement de ces grosses bêtes accompagnent leur bâillement interminable nous permettant d’admirer longuement les énormes dents dont ils sont pourvus.

Des varants, des singes et des crocodiles sont sur la berges.

Petite sieste pour Bertrand et direction le crocodile center pour moi. Rien de bien exceptionnel mais la possibilité de faire un selfie avec un crocodile en toute sécurité afin de répondre à la demande de ma nièce edeyne, demande bien appuyée par son papa.

Nous finissons la journée par une promenade sur la plage où plusieurs dizaines de pêcheur n’hésitent pas à se mouiller pour attraper des proies de taille plus que raisonnable. Autant de mouettes, si ce n’est d’avantage, sillonnent la plage pour profiter d’éventuels restes en volant à notre hauteur et pratiquant avec merveille le vol stationnaire.

Le soir, nous avons été dans un resto perdu en bord de mer qui servait majoritairement de la viande. Je ne me rappelle plus si je l’ai dit mais la cuisine sud africaine se compose très majoritairement de viande, notamment en bbq et souvent « enduit » d’une sauce caramélisée où accompagné d’une crème aux champignons, poivre… Les végétariens ne trouveraient pas leur bonheur ! Quoi qu’il en soit et s’il est vrai que nous sommes quelques peu contraints de manger plus de viande que d’habitude, celle ci est toujours très tendre à se demander ce qui explique la différence avec ce qu’on mange chez nous…. Nous n’avons pas la réponse !

En rentrant nous nous arrêtons au côté de gens scrutant la cime des arbres, nous faisons alors la connaissance d’un bush baby où autrement dit un galapo. Je ne sais pas si vous verrez quelque chose sur la photo ci-dessous

Sur les eaux à saint Lucia2018-09-22T21:45:56+02:00

Saint Lucia / isimangaliso park

2018-09-22T11:12:07+02:00

Nous entrons dans un parc en zone humide c’est a dire que le parc est constitué à la fois de l’océan mais également des lacs, marais et marécages.

Nous sommes obligé de faire cette visite en voiture en raison de la présence d’hippo, de croco et il paraît de lions et de Guérards. Nous n’avons rien vu de tout ça si ce n’est nos fidèles antilopes et autres buffles.

Peu importe, nous profitons de paysages biens plus verts que ce que nous avions vu jusqu’à présent et profitons des quelques points de vue au sein du parc.

Nous arrivons ensuite à l’extrémité du parc pour descendre plus longuement de la voiture à Cap Vidal. Nous marchons alors sur cette grande plage sauvage et barbotons dans l’océan indien.

L’activité des crabes sur la plages, se cachant à chaque arrivée de vague ou du passage d’un oiseau, compensent notre farniente.

Après un dîner au resto, nous traquons les hippo dans les rues sombres de la ville mais toujours rien. A notre retour, notre hôte nous indique qu’il faut plutôt attendre 20h/21h, nous verrons donc demain !

Saint Lucia / isimangaliso park2018-09-22T11:12:07+02:00

Départ du Swaziland pour St lucia

2018-09-22T11:11:09+02:00

Aujourd’hui, c’est une journée transition pour rejoindre la côte de l’Afrique du Sud et quitter ce joli petit état.

Sur la route, nous profitons des paysages, faisons une pause pour un breakfast où nous allons carresser un zèbre !

Une fois à destination, nous nous promenons dans la ville où de nombreux panneaux nous alerte sur la présence d’hippo dans la ville une fois la nuit tombée ! Nous allons justement les voir se baigner dans la rivière à la sortie de la ville.

Il s’agit d’ailleurs plus d’un village que d’une ville composé d’une mainstreet avec plein de resto et de boutiques pour les activités puis un ensemble d’avenue parallèles et perpendiculaires formant des bloques de grosses maisons à l’Américaine et a la végétation tropicale.

Départ du Swaziland pour St lucia2018-09-22T11:11:09+02:00

Swaziland / Mlilwane wildlife sanctuary

2018-09-20T20:08:25+02:00

Nous commençons notre journée dès 7 heures par deux heures de vélo, histoire de pouvoir se dépenser avant la forte chaleur. Nous grimpons ainsi dans les hauteurs pour les dévaler joyeusement sur une vieille piste casse gueule de VTT, ce que ne manqua pas de faire Bertrand.

Nous enchaînons ensuite sur 2h30 de rando où nous croisons antilopes (dont deux espèces que nous n’avions pas vu au Kruger) et zèbres très certainement habitué à la présence de l’homme puisque nous pouvons les approcher de très près.

Nous admirons une fois de plus toutes sortes d’oiseaux aux chants toujours aussi originaux ainsi que des insectes inconnus dont une espèce d’énorme sauterelle verte foncée qui quand elle s’envole devoile une couleur rouge sous ce qu’on identifie comme des ailes !

Les odeurs de jasmin, de citronnelle et de pin nous accompagnent tout au long de cette rando. Les fleurs de toutes les couleures egayent également cette promenade. Comme y invite les panneaux, nous veillons à la présence des crocodiles pour ne pas se faire manger !

Nous enchaînons ensuite 2h de rando à cheval, et dire que nous venions ici pour nous reposer ! Après les formules d’usages, nous indiquons à notre « moniteur » avoir un niveau débutant et vouloir se promener dans les hauteurs.

5 minutes de marche, 10 minutes de trots ont du sembler suffisant à notre guide pour qu’il nous lance à plein galop sur des chemins sinueux et en pleine forêt. J’hésite entre un sentiment de flippe énorme en raison de mon absence totale de maîtrise de mon cheval et un début de plaisir par ces changements de directions brutaux et la sensation de faire qu’un avec le cheval (en même temps c’est lui qui fait tout). Bien que ce galop d’essai se soit fini dans les fougères, nous repartons de plus belle avec un plaisir grandissant à mesure que la peur disparaît mais avec toujours cette aprehension de la chute. Cette course en pleine forêt, tout aussi impressionnante soit elle est une véritable expérience exitante pour nous deux.

Du coup, lorsque nous avons continuer à galoper en plein champ, ce fut presqu’un jeu d’enfant (et dire que mon expérience du galop se limitait à une ligne droite de 100 mètres en nouvelle Zélande, finalement le moniteur a peut être utilisé la bonne méthode).

Bon sinon en dehors des sensations, cette balade nous a fait découvrir les Springboks (encore une sorte d’antilope et par ailleurs l’emblème de l’équipe nationale de rugby) et de magnifiques paysages ponctués d’acacia parasol.

Érreinté par notre journée, nous regagnons notre auberge pour profiter de la piscine et repartons pour le restautant du camp principal où nous mangeons un braai, sorte de barbecue où nous découvrons la viande de buffle.

En sortant du restaurant, nous tombons sur un spectacle de danse des Swazi, l’occasion de voir des tenues traditionnels.

Swaziland / Mlilwane wildlife sanctuary2018-09-20T20:08:25+02:00

De Kruger au Swaziland

2018-09-20T20:01:29+02:00

Apres une nuit très chaude en tente, nous quittons le parc le matin en ayant pris le soin d’admirer une dernière fois une lionne dormant non loin de notre camp.

Nous prenons la route aux nombreux potholes (nids de poule) et scrutons régulièrement la jauge d’essence, la panne sèche nous guette. Après une première station n’ayant plus d’essence nous arrivons enfin à faire le plein, nous n’aurons donc pas commis de boulette.

On passe la frontière du Swaziland, petit pays d’environs 1,5 millions pour y résider pendant 2 jours, autant de temps en pleine nature et sans internet, une bonne déconnexion nous attend.

Nous nous arrêtons une première fois afin de faire une toute petite randonnée le long d’une cascade de 80 mètres. Il fait chaud, la végétation est subtropical et nous nous décrassons de 6 jours de voiture.

Nous reprenons la route pour monter dans les hauteurs du swaziland, dont le centre et la grande majorité du territoire est en altitude. L’importante industrie du bois marque considérablement le paysage qui nous entoure, forêt aux rangées d’arbres bien alignées et inversement champs aux multiples souches d’arbres, le tout ponctué de scieries et de tas de sciure.

Pour autant, le paysage aux nombreuses collines vertes tranchant avec le rouge ocre de la terre offre de très beau panorama.

Nous arrivons à la réserve mlilwane wildlife sanctuary où nous passerons deux jours dans une jolie rondavel au sein d’une auberge de jeunesse. Les terres rouges sont toujours là donnant au décors ressemblant à la Normandie une touche bien plus exotique. Les montagnes en arrière plan complète le panorama.

Le soir nous mangeons le copieux repas fait par les cuisinières de l’auberge à l’aide de marmite au dessus d’un feu de camp. Nous dégustons ce qui ressemble à un bourguignon avec du riz, des carottes, de la salade et des oignons tout en profitant du jardin très agréable.

De Kruger au Swaziland2018-09-20T20:01:29+02:00
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